
Ceci est un one-shot pour un concours pour Destiiny-0f-Sakura-x .
Couple : Shika/Tema ( on ne me changera pas !!)
Bonne lecture !!
« T'as rien et moi j'ai tout ».
Depuis la maternelle, tu me répètes inlassablement cette phrase.
« Tas rien et moi j'ai tout ».
C'est vrai, je te l'accorde, je n'ai rien.
Je n'ai ni père, ni mère, ni famille réelle, juste un tuteur qui fume comme un dragon et qui me tue avec sa fumée meurtrière.
Je n'ai ni maison, ni voiture, ni compte en banque.
Je ne reçois ni amour, ni affection, ni éducation.
« T'as rien et moi j'ai tout ».
C'est vrai que toi, tu as un père, une mère et un grand-frère.
C'est vrai que tu as une villa luxueuse, une Porsche pour tes dix-huit ans, et un compte en banque plein à craquer.
Tu as une bande d'amis qui te ressemblent, beaux, fils à papa, pleins aux as, coureurs de jupons.
Tu as toutes les filles à tes pieds et tu en es extrêmement fier.
Tu es le grand Hidan Nishimura, et je suis le pauvre Shikamaru Nara.
On s'est rencontrés en première année de maternelle et tu étais déjà un monstre.
Ton passe-temps favori a été, depuis cette époque enfantine, de me persécuter.
Tu ne me frappais pas.
Tu me lançais juste des vannes débiles, des sarcasmes, des répliques pour me dénigrer encore plus que tu ne le faisais.
Tu venais toujours entouré de ta bande que tu avais nommée Akatsuki, qui nous regardaient, mes amis et moi, d'une façon arrogante.
Et, pendant cinq minutes, on avait droit à vos moqueries, la plupart, blessantes.
« T'as rien et moi j'ai tout ».
C'est vrai que tu as tout.
Tu as un physique de rêve.
Tous les garçons feraient tout pour te ressembler.
Toutes les filles se retournent sur ton passage.
Tu es fier, droit.
Tu ne regardes jamais en arrière, tu continues ton chemin sans te soucier de ton prochain.
Mais après tout, tu es comme cela, Hidan.
« T'as rien et moi j'ai tout ».
C'est vrai que tu as tout, sauf une fille, que tu aimais beaucoup apparemment.
Elle avait des cheveux mi-longs d'un blond cendré, une peau mordorée qui rappelait son pays d'origine, célèbre pour son soleil ardent et ses plages.
Le plus surprenant chez elle était ses yeux, d'un vert hypnotisant, qui te faisaient fondre.
Aucun homme ne pouvait résister à cette déesse venue de Suna.
Tous, on baissait le regard quand elle croisait le nôtre.
Même toi, grand et fier Hidan, même toi, tu te prosternais à ses pieds.
Elle ne te regardait même pas.
Tu n'étais qu'un misérable homme pour elle.
Tu enrageais à chaque fois qu'elle t'ignorait quand tu l'interpellais.
Tu la maudissais pour le pouvoir qu'elle avait sur toi, qu'elle avait sur moi, qu'elle avait sur nous tous.
Même moi, en effet, elle était parvenue à me tirer de ma torpeur quotidienne, de ma flemme maladive.
Elle était belle, que dis-je, sublime.
Elle, fille unique d'un grand magnat du pétrole, qui était réellement une princesse, avait une démarche impériale, une grâce divine et une élégance charmante.
Elle t'envoûtait avec sa voix au timbre des plus doux, t'ensorcelait avec son rire enfantin et charmeur.
Elle avait un charme dévastateur qui soumettait tout homme à ses ordres, à ses demandes.
Tu avais l'air d'un chiot entre ses mains, d'un petit pantin désarticulé, sans vie, prêt à tout pour elle.
Pour la première fois de ta vie, Hidan, tu étais tenu en laisse.
Pour la première fois, quelqu'un te surpassait largement, en charisme, en beauté, en tout.
« T'as rien et moi j'ai tout ».
Non, je n'ai pas rien, Hidan.
Je me souviens de ta tête lorsque tu l'as vue se jeter dans mes bras, un beau matin en rentrant à l'université. Tu allais encore venir me voir, me ridiculiser, m'humilier comme tu savais si bien le faire, et tu t'es figé, tandis que tes yeux l'aperçurent, m'embrassant passionnément, au beau milieu de la cour.
Elle était belle, ma Temari, belle, vive, joyeuse et resplendissante.
Elle était mon rayon de soleil, que dis-je encore, elle était MON soleil.
Et ça, tu ne l'avais pas.
Tu ne l'aurais jamais d'ailleurs.
« T'as rien et moi j'ai tout ».
Pour la première fois de ma vie, je n'ai pas entendu cette réplique familière éructer de ta bouche.
Tu étais beaucoup trop sidéré, atterré, dépité par la défaite cuisante qui t'était tombé sur la tête.
Me voir, moi, le fils de personne, ton pire ennemi, avec cette fille que tu désirais au plus profond de ton âme, t'achevait à petits feux.
Tu ne m'embêtais plus, tu ne nous regardais plus, tu avais même cessé de venir en cours.
Tu étais mal, et moi j'étais bien.
Pour la première fois de ma vie, j'étais heureux, j'étais heureux d'être né Shikamaru Nara.
Toi, tu ne comprenais pas.
Tu ne comprenais pas pourquoi elle m'avait choisi, et qu'elle t'avait repoussé.
C'est vrai, tu as raison, moi non plus, je ne comprenais pas son choix.
Je n'étais beau, je ne m'estimais pas l'être, et que les filles soient dégoûtées de ma personne ne me dérangeait pas le moins du monde.
Et pourtant, cette fille-là, ma Temari, s'est intéressée à moi, pauvre flemmard que je suis.
Elle m'a avoué m'avoir aimé du premier coup d'oeil, et les jours passant, son amour pour moi s'est amplifié, jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus le contenir dans son petit coeur, et elle s'est déclarée.
Et elle aimait montrer à tout le monde que j'étais son petit-ami, pardon, elle n'employait pas ce mot, elle utilisait : « mon fiancé ».
J'adorais l'entendre dire ce mot.
Elle l'articulait avec tant d'amour que je me voyais déjà, quelques années plus tard, marié avec elle.
Elle m'a présenté à ses parents, a obligé son père à me désigner comme héritier, a bien failli me passer la bague au doigt, mais heureusement que j'ai été plus rapide.
« T'as rien et moi j'ai tout ».
Erreur.
J'avais tout ce qu'il me fallait en ce monde.
Temari.
Mon trésor.
La seule chose que jamais le Ciel ne t'accordera.
Et tu bouillonnais de rage, ta haine pour moi ne cessait de grandir en toi.
On était encore à l'université, mais on était réellement fiancés.
La date de notre mariage avait été fixée durant les grandes vacances, qui suivraient la fin d'une année d'études.
Temari était souriante, heureuse, et cela la rendait encore plus belle à mes yeux.
Tu lui as demandé encore une fois pourquoi elle m'avait choisi, et elle t'avait rétorqué que j'étais l'unique homme sur Terre que le Ciel avait engendré pour elle, et qu'elle préférait mourir que s'unir à toi.
Elle était comme ça, ma Temari, ma raison de vivre.
Elle était autoritaire, ne se laissait jamais marcher sur les pieds, et avait la langue bien pendue, trop peut-être, mais je l'aimais telle qu'elle était.
Folle, délicate, excitée, attentionnée, insupportable, adorable, chiante, douce et amoureuse.
Je l'aimais comme ça.
Et tu la détestais pour l'unique fait qu'elle t'ignorait, pire que tu étais transparent à ses yeux, qui ne voyaient que moi, pour reprendre ton expression.
« T'as rien et moi j'ai tout ».
Faux.
Tu avais peut-être tout, mais tu n'as pas goûté au plus grand cadeau qu'une femme, sincèrement amoureuse peut donner.
Les filles, tu les enchaînais.
Dès tes treize ans, tu as commencé à les attirer dans ton lit.
Elles ne te résistaient pas, et tu te faisais une joie de les dépuceler.
A chaque fois, tu faisais un nouveau record.
Et tu t'en vantais.
Mais tu ne connaissais pas ce cadeau, si précieux, si cher à leurs doux yeux.
Moi, j'y ai goûté.
Temari m'a offert ce qu'elle avait de plus cher au monde, cette nuit-là, qui fut la plus belle de ma vie. Elle m'a précieusement offert sa fleur, et sur le coup, j'ai failli céder.
Je ne la méritais pas.
Je n'étais pas l'homme qui lui fallait.
J'ai voulu dire non, j'aurais voulu, mais tu sais plus que moi, que ses yeux sont dévastateurs et j'ai obéi.
J'ai essayé de ne pas lui faire de mal, d'être le plus doux pour elle.
Mais elle s'en fichait d'avoir mal ou pas, ce qu'elle souhaitait, c'était de me sentir en elle.
Elle voulait m'appartenir, n'être qu'à moi.
Et ça, Hidan, c'est quelque chose que tu ne pourras jamais m'enlever.
Elle avait été mienne cette nuit-là, et elle avait été mienne les autres nuits aussi, toujours avec cette même passion, cette même ardeur, ce même amour sur son visage angélique.
Elle ne serait jamais à toi.
« T'as rien et moi j'ai tout ».
J'avais la seule chose que tu n'avais pas, et cela te mettait dans une rage folle.
Temari, ma princesse, mon papillon de lumière.
Elle était à moi, rien qu'à moi, et cela suffisait à faire naître en toi des envies meurtrières.
Tu voulais me blesser, me faire autant de mal que Temari t'en faisait.
Tu m'as toujours haï, alors que je n'étais rien. Je n'ai jamais su pourquoi.
Je n'ai jamais su pourquoi d'ailleurs tu ne t'en ai pas pris à moi, plutôt qu'à elle.
J'avais un horrible pressentiment.
Cette haine qu'on inspirait à ton égard me faisait peur.
J'avais peur que tu nous sépares.
Ce sourire machiavélique que tu as commencé à arborer m'angoissait énormément.
Temari avait beau me rassurer, mais même ses doux baisers ne changeaient pas mon sentiment de peur à ton égard.
Tu prenais plaisir à nous observer en train de nous embrasser, tu me lançais un clin d'oeil à chaque fois que Temari se détachait de moi.
Et, comme par instinct, je la serrais un peu plus contre moi, et tu riais, avec ta bande.
Ça sentait le mauvais coup.
« T'as rien et moi j'ai tout ».
Combien de fois me l'as-tu dit cette phrase ?
Je ne sais pas.
Tout ce que je sais, c'est que c'est vrai, tu as tout.
Tu as tout Hidan, et il a fallu que tu m'arraches la seule chose que je possédais.
Elle.
Temari, mon âme-s½ur, ma vie, tu me l'as arrachée.
Tu la voulais rien que pour toi, tu voulais me voir souffrir et bien, tu as gagné.
Je me souviens de ton sourire satisfait quand, vous avez débarqué, toi et ta bande, dans le parc, tandis qu'on se promenait, Temari et moi.
Vous vous êtes postés devant nous, avant de nous encercler.
Tout s'est passé si vite.
« T'as rien et moi j'ai tout ».
Tout en me rouant de coups, tu n'as pas arrêté de ma lancer cette phrase, avec d'immondes choses aussi.
Tu n'as pas cessé de me frapper, et je pouvais sentir que tes coups étaient empreints de haine, de colère, de dégoût, de jalousie.
Tout ce que tu avais contenu durant ses jours, ses semaines, ses mois, ses années, tout ce que tu avais sur le c½ur, tout sortait d'un coup tandis que tu te défoulais sur moi.
J'ai bien cru voir ma mort.
J'aurais préféré la voir qu'être témoin du tableau épouvantable que tu allais si gracieusement m'offrir.
J'étais maintenu par deux mecs dont la tête ne me disait absolument rien. Ils m'avaient plaqué au sol, et ils tenaient fermement ma tête pour que je ne perde aucune miette du spectacle pour reprendre tes termes.
D'un rire éclatant, tu as sorti un couteau de ta poche, et tu as commencé à abîmer son si joli visage, qui très vite, fut couvert de sang.
Elle ne cria pas, elle tentait juste de se débattre.
Mais que pouvait mon adorable et si fragile Temari contre deux colosses qui la tenaient durement ?
Rien.
Elle ne pouvait rien faire.
Elle était seule face à cet Hidan, que je haïssais au plus profond de son être.
« T'as rien et moi j'ai tout ».
Tu as voulu lui faire payer le fait qu'elle m'ait aimé et qu'elle t'ait rejeté.
Après lui avoir tailladé le visage, tu l'as plaquée à terre, et tandis qu'elle te frappait la figure, qu'elle te meurtrissait de coups de poings, tu l'as sauvagement pénétrée sous mes yeux et tu as autorisé tes autres sbires à faire la même chose.
Temari ne pleurait pas.
Elle frappait juste, frappait de toutes ses forces, mais n'abandonnait pas.
Et puis, après un moment qui me parut éternel, vous avez cessé de la violer, et vous avez commencé à abattre des coups d'une violence inouïe sur son sublime corps, que j'avais caressé la veille.
Je hurlais, j'essayais de me défaire de cette étreinte qui m'empêchait de venir à son secours, et toi, Hidan, tu riais, tu riais, satisfait de ta sinistre vengeance.
Quand elle a cessé de bouger, vous vous êtes enfuis, lâchement, mais ça, c'était tout toi.
Tu n'étais qu'un lâche.
« T'as rien et moi j'ai tout ».
Et cette idée te réjouissait.
Tu aimais avoir plus de choses que moi, et tu n'avais pas supporté qu'une fille que tu désirais me prenne comme amant.
Et juste pour ça, juste parce qu'elle n'avait pas cédé à tes caprices d'enfant gâté, de fils à papa pourri, tu l'as tuée.
Oui, tu l'as tuée.
Vous me l'avez laissée pour morte, quand vous avez déguerpis.
Elle respirait à peine.
Mais avec les dernières forces qu'il lui restait, elle me dit encore de ne pas pleurer, elle me dit qu'elle m'aimait plus que tout et elle me demanda de l'embrasser.
Je m'exécutais, comme toujours, avec elle.
Je posa mes lèvres sur les siennes, et même à l'orée de la mort, elles étaient toujours aussi suaves.
Elle expira son dernier soupir sous ma bouche, et je pus sentir la mort l'envahir, me l'enlever.
Mes larmes alors rejoignirent mes lèvres toujours apposées sur celles de mon aimée.
« T'as rien et moi j'ai tout ».
Oui, c'est vrai, maintenant j'ai tout perdu, tout ce qui me rattachait à cette maudite vie, qui ne m'avait jamais fait de cadeau.
Si.
Le seul présent qu'elle m'ait offert était Temari, mais elle me l'avait repris bien vite, trop vite.
J'avais vécu huit mois avec elle.
Huit mois magnifiques, remplis de bonheur, d'amour.
Huit mois où j'avais découvert dans les bras d'une somptueuse femme, la vie et l'amour.
« T'as rien et moi j'ai tout ».
Ta haine pour moi m'a tuée la seule personne chère à mon c½ur.
Tu me l'as violemment prise, sauvagement arrachée, ce courroux t'aveuglant littéralement.
Pourquoi m'as-tu détesté Hidan ?
Qu'avais-je de plus que toi, pour que tu me détestes depuis la maternelle ?
Je n'avais rien, tu avais tout. Que m'enviais-tu ?
« T'as rien et moi j'ai tout ».
Je ne saurais jamais.
Je n'aurais jamais les réponses à mes questions, car aujourd'hui, après avoir accompli ce que je devais faire, je m'en vais rejoindre ma bien-aimée, ma fiancée de toujours.
Je ne saurais jamais car toi et tes complices, vous allez pourrir en prison tandis que moi, je retrouvera ma Temari.
Et cette rencontre se fera, Hidan, même toi, tu ne pourras rien tenter pour l'en empêcher.
Derrière tes barreaux, tu ne pourras pas me voir m'ôter la vie, comme tu l'as ôtée à Temari.
« T'as rien et moi j'ai tout ».
Décidément, la vie s'acharne sur moi.
Ils t'ont relâché.
Tu as fait à peine trois semaines en prison.
Ton gentil papa est venu de faire sortir de ce trou où tu auras dû pourrir.
Comme quoi, être fils de riches, ça peut servir des fois.
« T'as rien et moi j'ai tout ».
Oui, tu as tout.
Tu as l'argent, les femmes, les amis, la vie mais pas l'amour, le véritable, le vrai, celui que j'ai connu et celui que tu ne connaîtras jamais.
« T'as rien et moi j'ai tout ».
Tu as peut-être tout, mais tu es dans l'incapacité de vivre normalement comme tu le faisais auparavant, car maintenant, tu as la mort de Temari sur la conscience, si tu en as une bien sûr.
Mais il me semble que le Ciel ait été généreux et t'en accordé une, car chaque fois que tu me vois, dans mon fauteuil roulant, tu deviens livide, tel un cadavre, et tu détournes les yeux.
Lâche.
Tu l'as toujours été.
« T'as rien et moi j'ai tout ».
Finalement, c'est décidé, je vais mettre fin à une vie déplorable qui n'aura jamais dû commencer.
Je vais mourir.
Je l'ai décidé.
« T'as rien et moi j'ai tout ».
Cette phrase, jamais plus tu ne pourras me la dire, Hidan, car, dès à présent, nos chemins se séparent.
Le mien monte vers le Ciel où m'attend ma Temari, mon trésor, qui me tend ses deux bras pour m'accueillir.
J'aperçois aussi ma mère, et mon père, qui patientent, heureux de me voir.
Tu vois, Hidan, cette scène, jamais tu ne la connaîtras, car ton chemin à toi, mènera vers le fond de la Terre, où tu payeras pour ton crime.
Et même l'argent de ton père ne pourra pas te sauver.
« T'as rien et moi j'ai tout ».
Dès le départ, tu t'es trompé.
J'ai toujours eu ce que je voulais.
J'ai eu des amis, des vrais, une amoureuse, une vraie.
C'est tout ce dont j'avais besoin.
« T'as rien et moi j'ai tout ».
Maintenant, c'est à moi de te le dire Hidan ...
« T'as rien et moi j'ai tout ».
Moumou-chan, Posté le lundi 10 août 2015 15:40
Coucou !
Autant dire que ton commentaire m'a touché ;) Je traverse une passe littéraire un peu difficile et mouvementée ces temps-ci et des messages comme le tien sont encore plus bienvenus. Sincèrement, ça me motive et me bourre d'énergie. Malgré mes fautes que j'ai eu la paresse de corriger après toutes ces années, je te remercie d'avoir pris le temps de lire cet écrit et surtout de m'avoir fait partager ton avis.
Je te remercie infiniment.
Je te souhaite beaucoup de courage pour la continuation dans l'écriture. Ça fait toujours plaisir de savoir que la relève est assurée et que les fictions continueront toujours ;)
Bonnes vacances !
Bises,
Aeyna
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Coucou, je ne savais pas que tu traversais une sorte d'artblock si on peut le dire comme ça et je suis contente si j'ai réussi à te re-motiver sans le savoir :) ! C'est plutôt à moi de te remercier d'écrire et de nous les partager, ahah ! Mais de rien quand même :p Bonnes vacances à toi ^^ !